National Legislation on Labour and Social Rights
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Répétition Parties I et II de la convention. Amélioration des niveaux de vie. La commission prend note des informations fournies par le gouvernement en réponse aux observations de la Confédération générale des syndicats des travailleurs de Madagascar (FISEMA) reçues le 2 septembre 2013. La FISEMA avait précédemment manifesté sa déception en raison de l’abandon du Plan d’action pour Madagascar (MAP), à l’insu des partenaires sociaux, et du refus par le ministère de la Fonction publique, du Travail et des Lois sociales de procéder à l’examen d’un projet de refonte du Code de prévoyance sociale (CPS). Dans sa réponse, le gouvernement indique que le Plan national de développement qui se substituera au MAP sera adopté avant la fin de 2015. Le gouvernement indique également qu’il accepte pleinement la refonte du CPS. En réponse à la demande de 2013, le gouvernement indique que la politique sociale de l’État est orientée vers l’amélioration de l’accès aux services sociaux de base et du renforcement du capital humain. La commission espère que le gouvernement sera prochainement en mesure de fournir des informations actualisées sur la manière dont les dispositions de la convention visant à ce que «toute politique» tende «en premier lieu au bien-être et au développement de la population» ont été prises en compte pour l’élaboration et l’exécution des mesures prises dans le cadre de la politique générale de l’État (article 1 de la convention). Prière également de fournir des informations sur les mesures prises en vue d’améliorer les conditions de vie dans les régions rurales, accroître la capacité de production et élever le niveau de vie des travailleurs de l’économie informelle (articles 3 et 4).
Répétition Parties I et II de la convention. Amélioration des niveaux de vie. La commission prend note des informations fournies par le gouvernement en réponse aux observations de la Confédération générale des syndicats des travailleurs de Madagascar (FISEMA) reçues le 2 septembre 2013. La FISEMA avait précédemment manifesté sa déception en raison de l’abandon du Plan d’action pour Madagascar (MAP), à l’insu des partenaires sociaux, et du refus par le ministère de la Fonction publique, du Travail et des Lois sociales de procéder à l’examen d’un projet de refonte du Code de prévoyance sociale (CPS). Dans sa réponse, le gouvernement indique que le Plan national de développement qui se substituera au MAP sera adopté avant la fin de 2015. Le gouvernement indique également qu’il accepte pleinement la refonte du CPS. En réponse à la demande de 2013, le gouvernement indique que la politique sociale de l’Etat est orientée vers l’amélioration de l’accès aux services sociaux de base et du renforcement du capital humain. La commission espère que le gouvernement sera prochainement en mesure de fournir des informations actualisées sur la manière dont les dispositions de la convention visant à ce que «toute politique» tende «en premier lieu au bien-être et au développement de la population» ont été prises en compte pour l’élaboration et l’exécution des mesures prises dans le cadre de la politique générale de l’Etat (article 1 de la convention). Prière également de fournir des informations sur les mesures prises en vue d’améliorer les conditions de vie dans les régions rurales, accroître la capacité de production et élever le niveau de vie des travailleurs de l’économie informelle (articles 3 et 4).
Parties I et II de la convention. Amélioration des niveaux de vie. La commission prend note des informations fournies par le gouvernement en octobre 2008, en réponse à la demande directe de 2005. Le gouvernement déclare qu’il a adopté le Plan d’action pour Madagascar (MAP) pour la période de 2007-2011 afin d’appuyer et d’accélérer l’application de sa Stratégie de réduction de la pauvreté (2000-2015). Le gouvernement indique que le MAP décrit les engagements, les stratégies et les actions qui conduiront à une croissance économique rapide et contribueront ainsi à la réduction de la pauvreté. En favorisant le développement de secteurs créateurs d’emplois, tels que l’infrastructure, les transports et le tourisme, le MAP vise à améliorer le niveau de vie de la population, tout particulièrement celui de la population rurale, fortement touchée par les sous-emplois, les difficultés d’accès au système éducatif et aux services sanitaires. La commission invite le gouvernement à fournir, dans son prochain rapport, des informations sur les résultats atteints dans le cadre du MAP pour tendre au bien-être et au développement de la population, ainsi qu’à encourager les aspirations de celle-ci vers le progrès social (article 1 de la convention). Prière également de joindre des informations sur les mesures prises en vue d’améliorer les conditions de vie dans les régions rurales et accroître la capacité de production et élever le niveau de vie des travailleurs de l’économie informelle (articles 3 et 4).
Parties I et II de la convention. Amélioration des niveaux de vie. La commission a pris note des informations détaillées contenues dans le rapport du gouvernement pour la période se terminant en septembre 2003. Dans ses commentaires sur l’application de la convention no 122, elle avait pris note de l’adoption d’une stratégie de réduction de la pauvreté ayant pour objectif la promotion d’un développement rapide et durable visant à réduire de moitié le taux de pauvreté en dix ans. La stratégie, qui repose en grande partie sur le principe de partenariat public/privé, vise à susciter et promouvoir une croissance économique à base sociale élargie et propose des mesures sectorielles pour le développement rural. A cet égard, la commission demande au gouvernement de continuer à fournir, dans son prochain rapport, des informations sur la manière dont les dispositions de la convention no 117 visant à ce que «toute politique» tende «en premier lieu au bien être et au développement de la population» ont été prises en compte pour l’élaboration et l’exécution des mesures prises dans le cadre de ses programmes économiques et de sa stratégie de lutte contre la pauvreté.